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Dépression (psychiatrie)


En psychiatrie, la dépression est un trouble de l'humeur. Le terme provient du latin depressio1, « enfoncement ». C'est autour du xixe siècle que le terme est apparu dans son usage psychologique2,3.

La dépression caractérise essentiellement un état de perte de motivation ou d'élan vital chez un individu, associé ou non à différents symptômes. Les symptômes les plus caractéristiques sont une perte d'espoir, de bien-être, d'estime de soi. D'autres signes peuvent survenir, tels que l'anxiété ou l'angoisse, la fatigue, la tristesse, des pensées négatives, des idées noires, des intentions suicidaires ou d'autres modifications de l'humeur et, dans certains cas extrêmes, des hallucinations.

La dépression est souvent multifactorielle et ses causes, généralement multiples. La dépression peut être liée à un ou plusieurs événements traumatiques ou vécus comme négatifs (chagrin, deuil, crise situationnelle, stress) ou à un environnement psychosocial et familial hostile. Elle peut s'associer à un autre trouble psychiatrique ou à une affection somatique.

Le diagnostic du trouble dépressif majeur est basé sur le vécu du patient. Il n'existe aucun test de laboratoire de la dépression clinique, mais les médecins demanderont généralement des tests permettant d'exclure des conditions pouvant provoquer des symptômes similaires (diagnostics différentiels). Si la dépression n'est pas détectée à temps, cela peut entraîner un état dépressif stagnant nocif à la santé physique ou mentale de l'individu. Un outil tel que l'inventaire de dépression de Beck peut être utilisé pour détecter une dépression majeure4,5. La dépression majeure peut frapper les individus âgés entre 20 et 30 ans, avec un autre pic de dépression basé entre 30 et 40 ans6.

Le traitement-type du trouble dépressif consiste en plusieurs modalités, dont notamment une médication à partir d'antidépresseurs, de neuroleptiques ou d'anxiolytiques, d'une psychothérapie et, dans certains cas, d'une aide psychosociale. L'hospitalisation peut être nécessaire dans certains cas aigus : s'il y a auto-négligence, risque significatif de se blesser ou de blesser autrui, ou lors d'une crise suicidaire dans les formes les plus graves. Une minorité de patients est traitée à l'aide de lasismothérapie, sous anesthésie générale.

La durée du trouble varie grandement, pouvant aller d'un épisode qui se résout en une semaine à une séquence d'épisodes dépressifs majeurs s'étalant sur des années. Les individus dépressifs ont une espérance de vie plus courte que ceux qui ne le sont pas en partie à cause du suicide et d'une plus grande susceptibilité émotionnelle due à un ou plusieurs troubles mentaux. Les facteurs de risques suicidaires causés par les médicaments restent inconnues.

Les dépressifs et même les ex-dépressifs peuvent subir une stigmatisation sociale.

Les connaissances sur la nature et les causes de la dépression ont largement évolué à travers les siècles, mais elles demeurent incomplètes ; la recherche sur la dépression est actuellement un domaine d'étude actif et diversifié. Ces facteurs incluentpsychologiques, psychosociaux, héréditaires, évolutionnaires, biologiques, spirituels, environnementaux, notamment, et à leurs interactions. L'utilisation prolongée de certains types de substances psychoactives ou psychotropes (alcool, café, tabac,drogues, médicaments) peuvent augmenter la symptomatologie dépressive. Les traitements psychothérapeutiques sont basés sur des théories de personnalité, de la communication interpersonnelle de la relation d'aide et de l'apprentissage.

Définition élargie[modifier]

Terminologie[modifier]

La littérature médicale décline le terme de dépression sous les appellations « trouble dépressif récurrent », « dépression nerveuse », « dépression clinique », « dépression unipolaire », « épisode dépressif majeur et caractérisé » ou encore « syndrome dépressif ».

Acceptions[modifier]

Le terme recouvre au moins trois significations. Il peut se rapporter à un symptôme, un syndrome ou une entité nosologique qui se manifeste par une perte durable de l'élan vital (lassitude, dépréciation de soi, pessimisme, etc.).

Les symptômes sont similaires à ce que peut produire une extrême fatigue, une des caractéristique est que la fatigue ne cède pas au repos. Selon Henri Ey : « il s'agit d'un processus pathologique extrêmement complexe (...) De toute manière, soit comme conséquence soit comme simple association, sont ajoutés aux troubles de l'humeur deux autres phénomènes : l'inhibition et la douleur morale ». L'inhibition est « une sorte de freinage ou ralentissement des processus psychiques de l'idéation qui réduit le champ de la conscience et les intérêts, replie le sujet sur lui-même et le pousse à fuir les autres et les relations avec autrui. Subjectivement, le malade éprouve une lassitude morale, une difficulté de penser, d'évoquer (troubles de la mémoire), une fatigue psychique. (...) La douleur morale s'exprime sous forme d'auto-dépréciation qui peut devenir auto-accusation, auto-punition et un sentiment de culpabilité7. »

Les mécanismes biologiques, neuropsychiques, psychologiques, sociologiques de la dépression sont constamment en interaction et il n'est pas possible aujourd'hui de réduire la dépression à l'un d'eux exclusivement même si des progrès importants ont été réalisés ces dernières années. Le plus notable de ces progrès est donc que médecins et patients disposent maintenant de médicaments efficaces (antidépresseurs) qui agissent sur les effets de certaines dépressions mais sans par ailleurs pouvoir en atteindre les causes. Ces médicaments entraînent souvent et par ailleurs des effets secondaires non-négligeables (prise de poids, baisse de la libido) qui rendent le médecin attentif à la balance « coûts - bénéfices » dans l'indication et la durée du traitement prescrit. Il faut être attentif qu'en psychopathologie, la distinction entre dépression et mélancolie est utilisée et qui, pour la dernière, en est la forme la plus grave et la plus dangereuse en termes de risques suicidaires. Notamment, les troubles dépressifs se doublent souvent de troubles physiques, douleurs d'origine indéterminées, anorexies, etc. ; est d'ailleurs parlé de dépression masquée pour toute une série de troubles physiques cachant une dépression. Les dépressions peuvent aussi se déclarer avec d'autres psychopathologies, psychoses, névrose traumatique, etc.

Comme entité nosologique aux contours plus ou moins précisément établis, les dépressions sont fréquentes et, d'après des études statistiques, atteignent presque 20 % de chaque humain au cours d'une vie. Le risque évolutif le plus grave de cette pathologie est le suicide, en particulier quand la dépression passe inaperçue et qu'elle n'est pas prise en charge. Ainsi et en France, il est estimé que près de 70 % des personnes décédant par suicide qui souffraient d'une dépression le plus souvent non diagnostiquée et traitée8. Les dépressions peuvent se manifester chez le nourrisson, l'enfant et l'adolescent (rarement sous la même forme que chez l'adulte), chez l'adulte et chez les personnes âgées chez qui elle est fréquente.

La dépression se démarque de ce qui est communément appelé « coup de blues » ou « déprime » qui traduit une tristesse passagère, normale dans une situation difficile.

Un état dépressif peut être le signe avant-coureur d'une affection neurologique : sclérose en plaques, maladie de Parkinson, maladie d'Alzheimer, tumeur cérébrale ou maladie vasculaire. Les entretiens diagnostiques ne doivent exclure d'emblée aucune piste notamment relative à laneuropathologie. L'examen clinique doit être effectué par des professionnels capables de déterminer si une piste organique doit être ou non écartée. C'est la collaboration entre médecins, généralistes et spécialistes et psychologues cliniciens qui permet d'affiner le diagnostic.

Le terme dépression en psychanalyse est différent de celui de la psychiatrie phénoménologique descriptive, il décrit un processus psychique douloureux lié à une perte sans être nécessairement pathologique. Est alors distinguée une dépression, (dépressivité9, position dépressive) normale d'une dépression pathologique.

En philosophie, en littérature, le terme mélancolie est utilisé souvent comme équivalent de la dépression ou dépression existentielle10.

Étiologies[modifier]

De plus en plus et comme pour nombre de troubles psychiques, les dépressions sont appréhendées comme résultant de l'interaction d'un ensemble de facteurs psychologiques, biologiques, sociaux et génétiques. Classiquement on formule ceci ainsi qui peut se représenter sous forme d'une étoile : la dépression est le résultat d'un facteur actuel de crise qui se présente comme "l'élément déclenchant" qui - c'est une tendance actuelle - retient trop souvent toute l'attention du clinicien qui se rive ainsi à la synchronie en négligeant la diachronie, notamment l'histoire de vie du sujet et l'interaction de :

  • Facteurs psychologiques individuels relevant de la contingence biographique du sujet (petite enfance, enfance avec la latence, adolescence, etc.) et son vécu actuel,
  • De facteurs dus aux prédispositions constitutionnelles,
  • De ceux relevant de l'environnement familial, professionnel, socioculturel.

Psychologie[modifier]

De nombreux aspects de la personnalité et de son développement apparaissent être intégralement responsables de l'occurrence et de la persistance de la dépression11, et engendrent des émotions négatives en tant que précurseurs communs12. Bien que les épisodes dépressifs soient fortement liés aux évènements, le style caractéristique d'un individu peut être soigné lorsque ceux-ci paraissent moins importants ou disparaissent partiellement ou totalement13. De plus, une faible estime de soi et des pensées pessimistes ou superflues sont liées à la dépression.

Il n'est pas toujours certain que les facteurs soient les causes ou les effets de la dépression; cependant, des individus capable de montrer qu'ils peuvent penser positivement sont également capable de surmonter leur dépression et montrer une estime de soi plus importante14.

Les individus en dépression se plaignent d'eux-mêmes concernant des évènements négatifs et, comme montré dans une étude de 1993 d'adolescents hospitalisés atteints de dépression, ceux qui se blâment eux-mêmes ne peuvent avoir de pensées, ni même d'attitudes positives15. Cette tendance est une caractéristique d'une attribution dépressive et pessimiste16. D'après Albert Bandura, un psychologue canadien, associé à la thérapie cognitive sociale, les individus ayant des pensées négatives envers eux-mêmes, basées sur des expériences d'échec, observent un échec de modèle social, un manque de persuasion sociale, et engendrent des états émotionnels et somatiques tels que le stress et la tension. Ces influences peuvent être le résultat d'un auto-concept négatif et d'un manque d'auto-efficacité.

Une maltraitance sur mineur (physique, émotionnelle, sexuelle, ou négligence) est associée à un risque majeur de dépression plus tard dans la vie17. Une maltraitance sur mineur par quelqu'un de son entourage développe sa personnalité et crée un très grand risque de dépression ainsi que d'autres troubles mentaux associés. Des dérangements dans la vie familiale, tels qu'une dépression parentale (particulièrement maternelle), des conflits familiaux ou des cas de divorce, la mort d'un parent, ou autre perturbation dans le domaine parental engendre un grand risque de dépression.

À l'âge adulte, les évènements stressants sont fortement associés aux épisodes de fortes dépressions majeures18.

Spiritualité[modifier]

La dépression arrive probablement moins parmi les religieux19. Les personnes religieuses pourraient être plus aptes à donner un sens à leurs épreuves, être mieux soutenues par leur communauté de foi ou être mieux outillées pour vaincre leurs propres difficultés en aidant les autres[réf. souhaitée].

Sociologie[modifier]

La pauvreté et l'isolement social sont généralement associés à de hauts risques de problèmes mentaux : l'isolement social représente un risque pour la santé comparable au tabagisme20. Dans ce contexte, les événements de la vie connectés à un rejet social apparaissent être liés à la dépression21. Une évidence associée au premier épisode de dépression est plus souvent et immédiatement précédée par des évènements stressants avec une hypothèse que les individus peuvent devenir nerveux et anxieux, et engendre ainsi une dépression<ref(en) Monroe SM, Slavich GM, Torres LD, Gotlib IH, Major life events and major chronic difficulties are differentially associated with history of major depressive episodes, vol. 116, 2007, 116–124 p.</ref>.

Substances iatrogènes[modifier]

D'après le DSM-IV, un diagnostic clinique peut être effectué si la cause est perçue comme étant due aux effets psychologiques directs d'une substance (drogue, alcoolisme, médicaments) ; lorsqu'un syndrome est perçue comme ressemblant à une dépression majeure et est immédiatement causé par un abus de substance ou par une réaction adverse à la drogue, il est classifié en tant que "troubles induits par une substance"22. L'alcoolisme est une très forte consommation d'alcool augmente significativement le risque de développer une dépression majeure23,24,25. Comme pour l'alcool, les benzodiazépines sont des dépresseurs du système nerveux central ; ce type de médicament est communément utilisé pour traiter l'insomnie, l'anxiété et les spasmes musculaires. Similaire à l'alcool, les benzodiazépines augmentent le risque de développer une dépression majeure. Cet énorme risque peut en partie être dû aux effets de la drogue sur la neurochimie, tels comme des niveaux bas de sérotonine et de norépinéphrine26. L'utilisation chronique de benzodiazépines peut également causer ou empirer une dépression27,28.

Description clinique[modifier]

Le diagnostic de la dépression est devenu une question épistémologique importante. En effet, au vu de l'évolution des idées en psychiatrie, la pratique clinique tend à perdre du terrain face à des systèmes de questionnaires auto- ou hétéro-administrés (par ex.: l'échelle de dépression de Hamilton, celle de Beck, celle de Yesavage, ou encore de HAD...) qui présentent l'avantage de donner des réponses quantifiables et l'inconvénient de trop souvent se substituer à l'évaluation clinique, seule à même de mettre à jour les éléments subjectifs propres à chaque patient, notamment les idées suicidaires. Ce type de diagnostic "syndromique" laisse "complètement dans l'ombre tout ce qui pourrait ressembler de près ou de loin, à quelque chose comme un diagnostic structural, en sachant que la référence se fait moins sur un ensemble dénombrable qu'à un ensemble continu"29. Il suffit par ailleurs de préciser que les formulaires de ces échelles sont souvent distribués gratuitement aux médecins toutes spécialités confondues par les entreprises pharmaceutiques pour mesurer quel en est l'enjeu économique. L'examen psychologique est une technique diagnostique pratiquée par des psychologues cliniciens et qui vise à préciser la nature de la/ ou /les dépression/s dans leurs fondements structurel afin de délimiter, par exemple, ce qui relèverait d'une mélancolie (psychotique) d'une dépression (névrotique ou cas-limite) 30. Il n'existe par ailleurs et pour le moment aucun marqueur biologique de la dépression. Les classifications DSM et CIM ont d'abord été pensées pour la recherche et ne visaient pas à se substituer au savoir clinique et à la réflexion psychopathologique des praticiens (psychiatres et psychologues cliniciens). La diffusion de ces systèmes de classification, l'impact qu'y ont eu les entreprises pharmaceutiques dans leur élaboration, posent des questions d'intérêts où le souci scientifique n'est pas le seul en cause31. Notons que les milieux spécialisés tendent de plus en plus à se réapproprier leur démarche en psychopathologie afin d'éviter ces biais commerciaux qui ont desservi leurs patients (cf. Psychopathologie).

Critères (DSM-IV-TR et CIM-10)[modifier]

Les différents critères utilisés et de loin référencés peuvent être trouvés dans la quatrième édition révisée du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR) de l'Association Américaine de Psychiatrie (AAP) et du manuel de Classification Internationale des Maladies et Autres Problèmes de Santé (CIM-10) de l'Organisation Mondiale de la Santé utilisant le terme trouble dépressif récurrent32. Le récent système est utilisé dans les pays européens, alors que l'ancien système est utilisé aux États-Unis et dans les pays autres qu'européens33 et les auteurs ont travaillé en co-opération34.

Les deux manuels DSM-IV-TR et CIM-10 exposent les symptômes principaux et typiques de la dépression. Le CIM-10 définit trois symptômes typiques de la dépression (déprime, anhédonie et une forte baisse d'énergie), deux de ces trois symptômes doivent être présents pour conclure à une dépression majeure35. D'après le DSM-IV-TR, il existe deux symptômes de dépression - déprime, anhédonie, dont au moins un de ces deux symptômes doit être présent pour conclure à une dépression majeure36.

La dépression majeure est classifiée en tant que trouble de l'humeur dans le DSM-IV-TR37. Le diagnostic se base sur la présence d'épisodes dépressifs majeurs simples ou récurrents. La catégorie "Trouble dépressif non-spécifié" est diagnostiquée si la manifestation de l'épisode dépressif ne rencontre aucun critère de la dépression majeure. Le système du CIM-10 n'utilise pas le terme de trouble dépressif majeur, mais liste des critères similaires pour les diagnostics d'un épisode dépressif communément nommé degré de sévérité (léger, modéré ou sévère)38; Le terme récurrent peut être ajouté si de multiples épisodes sont perçus sans aucun aucun trouble maniaque39.

Épisode dépressif majeur[modifier]

Ce terme, proposé par le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, signifie en fait « dépression caractérisée ». Bien qu'ils ne fassent pas l'unanimité, les critères américains du DSM-IV du trouble dépressif majeur sont :

  • Humeur triste (dépressive) : décrite comme plus intense que la douleur d'un deuil. Le malade est sans joie et opprimé, parfois il est incapable de percevoir tout sentiment. En général, l'humeur est pire le matin. Chez les enfants et adolescents, cela peut se manifester par une irritabilité accrue.
  • Anhédonie : diminution du plaisir ou de l'intérêt pour toutes activités, y compris celles qui procurent du plaisir habituellement. Les habitudes se modifient, les passe-temps sont délaissés, tout semble monotone et vide, y compris les activités habituellement gratifiantes.
  • Modification involontaire du poids : prise ou perte de 5 % ou plus du poids habituel en un mois. Éventuellement, modification récente de l'appétit
  • Troubles du sommeil : diminution (insomnie) ou augmentation (hypersomnie) du temps de sommeil
  • Troubles de la concentration ou du processus de prise de décision
  • Troubles du comportement : agitation ou ralentissement (bradypsychie) rapportée par l'entourage.
  • Asthénie : sensation de fatigue ou de diminution d'énergie
  • Sentiments de culpabilité hypertrophiés, souvent injustifiés et liés à l'auto-dépréciation du patient.
  • Idées noires : volonté de mourir, idées suicidaires actives, avec ou sans plan spécifique, finalement tentative de suicide.

Une personne doit présenter au moins 5 des 9 symptômes suivants pour une durée d'au moins deux semaines, la plupart du temps, entrainant un changement dans le mode de fonctionnement habituel. Au moins l'un des deux critères doit être présent : humeur triste, anhédonie[réf. nécessaire].

Classification[modifier]

Le DSM-IV-TR reconnait cinq autres classifications du trouble dépressif majeur, en addition aux notes, à la sévérité et à la présence de symptômes psychotiques :

  • La mélancolie est caractérisée par une perte de plaisir dans la plupart des activités, une réactivité très faible voire inexistante du plaisir, une humeur dépressive plus prononcée, réveil tôt le matin, retard psychomoteur, perte de poids excessif (ne pas confondre avec anorexie), ou culpabilité sévère40.
  • La dépression atypique est caractérisé par une réactivité (anhédonie paradoxale) et positivité, gain de poids significatif ou appétit très confirmée, sommeil lourd et excessif (hypersomnie), sensation de paralysie à certaines parties du corps et haute sensibilité au rejet interpersonnel41.
  • La dépression catatonique est une forme rare mais sévère de dépression majeure impliquant des troubles du comportement moteur et autres symptômes. L'individu est muet, et exhibe certains mouvements bizarres parfois dénués de sens. Les symptômes catatoniques surviennent lors d'épisodes de schizophrénie ou maniaques, ou peut être causés par un syndrome malin des neuroleptiques42.
  • La dépression post-partum, est une dépression soutenue et très intense dont une femme fait l'expérience après avoir donné naissance. La dépression post-partum possède un degré d'incident entre 10–15 % parmi les nouvelles mamans. Le DSM-IV explique que, dans l'ordre de qualifier la dépression post-partum, cette dépression dure environ plus de trois mois43.
  • La dépression saisonnière s'installe à l'automne ou au début de l'hiver et dure jusqu'au printemps. Ces symptômes sont ceux de tout épisode dépressif : tristesse permanente, perte d'intérêt générale, irritabilité, troubles de sommeil, perte ou gain de poids, pensées suicidaires. Les symptômes de la dépression saisonnière se distinguent de ceux des blues de l'hiver, lesquels ne nous empêchent pas de continuer à assumer nos activités quotidiennes. Ceux qui souffrent de dépression saisonnière sont très affectés dans leur quotidien (travail, relations...). La cause exacte n'en est pas connue, mais la diminution de l'intensité de la lumière naturelle et de sa durée semble jouer un rôle important44.

Diagnostic différentiel[modifier]

D'autres diagnostics différentiels peuvent être considérés, incluant la dysthymie, comme étant des classifications similaires à l'humeur dépressive ou au trouble bipolaire. La dysthymie est un trouble de l'humeur chronique, moyen, durant laquelle un individu expose une baisse d'humeur pratiquement quotidienne durant deux ans. Les symptômes ne sont pas aussi sévères que la dépression majeure, bien que les individus atteints de dysthymie soient exposés à un second épisode de dépression majeure (souvent nommé double dépression). Le trouble de l'adaptation est un trouble de l'humeur apparaissant être une réponse psychologique d'un événement ou situation stressants, durant lequel les symptômes comportementaux et psychologiques sont significatives mais ne rencontrent pas les critères d'une dépression majeure. Le trouble bipolaire est une condition durant laquelle une phase dépressive alternent aux épisodes maniaques ou hypomaniaques.

D'autres troubles peuvent être en relation au diagnostic d'un trouble dépressif. Ils incluent les troubles dépressifs venant du physique, des médicaments et abus substanciels. La dépression due à une maladie physique est classifiée en tant que trouble de l'humeur à cause d'une condition générale. Lorsque la dépression est causée par un abus de médicament ou de drogues, elle est diagnostiquée comme étant un troubles induits par une substance45. Dans de tels cas, une substance est jugée être, d'un point de vue étiologique, liée à un trouble de l'humeur.

Le trouble schizo-affectif est différent du trouble dépressif majeur de par ses symptômes psychotiques car dans le trouble schizo-affectif, au moins deux semaines d'hallucinations ou d'illusions doivent survenir en l'absence de symptômes de l'humeur aperçus.

Les symptômes dépressifs peut être perçues durant des périodes de schizophrénie, trouble délirant et trouble psychotique non-spécifiés.

Certains symptômes cognitifs de démence tels que la désorientation, l'apathie, la difficulté à se concentrer ou une perte de mémoire peuvent être confondus avec ceux de la dépression majeure. Ils sont spécialement difficile à déterminer chez les individus prématurés.

Symptomatologie[modifier]

La dépression majeure affecte significativement l'individu, aussi bien dans son mode de mise en relation à sa famille et ses relations personnelles. Un retentissement peut s'observer dans le travail ou la scolarité, les habitudes alimentaires et du sommeil, ainsi que la santé général d'un individu46. Son impact sur le fonctionnement psychique et organique et le bien-être peuvent constituer des conditions médicales telles que des maladies chroniques (diabète)47.

L'insomnie est commune parmi les personnes souffrant d'un état dépressif. Un individu se lève très tôt et ne peut se rendormir48, l'insomnie peut également inclure des difficultés à s'endormir. L'insomnie affecte au moins 80 % of des individus dépressifs. L'hypersomnie peut également survenir48, affectant 15 % des individus dépressifs. Certains antidépresseurs peuvent causer une insomnie à cause des effets stimulants49.

Un individu dépressif peut avoir de nombreux symptômes physiques tels que la fatigue, les maux de tête, ou des problèmes digestifs ; les plaintes physiques sont les plus communes dans les pays en voie de développement, d'après les critères de la dépression de l'Organisation Mondiale de la Santé. L'appétit diminue souvent, résultant à une perte de poids, bien que l'appétit peut parfois s'accroitre et causer un gain de poids souvent significatif. La famille et les amis peuvent remarquer le comportement de l'individu souvent agité ou léthargique48.

Les signes plus spécifiquement retrouvés chez l'adulte peuvent être des troubles de la sexualité, une baisse de la libido, une impuissance sexuelle50. Chez la future ou la nouvelle mère, les signes en rapport avec une dépression périnatale peuvent être observés.

Chez l'enfant[modifier]

La dépression peut se manifester chez les enfants subissant un ou plusieurs troubles dans leur vie.

Bien qu'il soit commun chez les enfants et adolescents de se sentir parfois tristes, un groupuscule de jeunes fait l'expérience d'un phénomène symptomatique de dépression51,52. De si jeunes individus, souvent perçus comme cliniquement dépressifs, se sentent tristes, sans espoir, ou irrités durant des mois, voire des années. Ils peuvent perdre goût à leurs activités habituelles (ex. jouer avec d'autres copains), leurs habitudes alimentaires et leur sommeil (ex. ils peuvent dormir plus ou moins que d'habitude) et ils peuvent souffrir de trouble de l'attention, même lors de programmes télévisés ou durant une partie de jeux vidéo53. Les enfants dépressifs sont souvent exposés à une humeur plus irritable que dépressive et exposent une variante de symptômes selon leur âge et leur situation54. Bon nombre d'entre eux perdent leur attention durant leur scolarité et montrent des résultats scolaires en déclin48. Cette dépression peut également coexister avec le trouble du déficit de l'attention (TDA), compliquant le diagnostic et le traitement de ces deux psychopathologies55.

Lors de cas particuliers, les jeunes individus cliniquement dépressifs pensent ou parlent beaucoup de la mort et certains enfants dépressifs pensent spécifiquement à se blesser ou à se tuer. Souvent, les enfants et adolescents peuvent avoir des symptômes similaires lorsqu'ils perdent un proche. Dans la dépression clinique, cependant, ces pensées et sentiments tentent à apparaître même lorsque l'enfant ne perçoit aucun événement triste56.

Dépression du bébé[modifier]

Des tableaux de dépression graves, pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été décrits depuis les années 1950 chez les bébés, notamment après de brutales pertes parentales. René Spitz a ainsi défini l'hospitalisme, état survenant lors d'une séparation brutale avec les parents, passant par une phase de pleurnichements, puis une phase de protestation, glapissement, perte rapide de poids, arrêt du développement ; puis une troisième phase de désinvestissement du monde qui l'entoure et de retrait conduisant à ce que Spitz a nommé la dépression anaclitique57,58. Ce tableau clinique peut régresser si des mesures adéquates sont prises rapidement. S'il se prolonge, il peut être à l'origine de troubles intellectuels, des apprentissages, de difficultés psychologiques, avec une plus grande vulnérabilité aux séparations, réalisant des tableaux carentiels dont le risque évolutif est lourd.

Ce type de diagnostic doit être posé avec précaution. En particulier le diagnostic différentiel avec les troubles apparentés à l'autisme doit être évoqué 59.

Dépression de l'adolescent[modifier]


http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9pression_(psychiatrie)


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